Aoraki m’était soufflé

vidéo full HD, couleur, son, 7’10 minutes / 2016

Un corps au contact des éléments. Un enchevêtrement, dans un paysage de montagne. Le vent souffle et anime la matière. L’eau poursuit naturellement son cycle, dans un présent perpétuel. Parfois le temps se glace, sur les sommets. La terre rocailleuse est piétinée, mise en marche.

Ce projet est inspiré du Dieu Maori Aoraki qui a donné son nom au plus haut sommet de la Nouvelle-Zélande. Selon la légende, ce jeune garçon, lors d’un voyage en canoë avec ses trois frères se vit transformer en montagne.
Le corps humain se transforme en paysage et symbolise une force sacrée.